"Ce ne sera pas pour 2026, peut-être pour 2027. Aussi difficile soit le Dakar, c'est une invitation à repousser ses limites. Tout le monde peut suivre une trace. Naviguer dans des conditions difficiles, piloter, se dépasser et aller au bout de ses ressources physiques, c'est vraiment quelque chose qui me plaît", a expliqué Liebaert.

Revenant sur l'Africa Eco Race, le pilote a expliqué combien il était "spécial de terminer dans le top 5 entre deux équipes de constructeurs. J'ai participé à un rallye de douze jours sans problème technique ou grosse chute, et j'ai appris des leçons pour la suite."

Comme sur le Dakar 2022, ou lors du Morocco Desert Challenge, Liebaert a prouvé ces dernières semaines qu'il était un sérieux pilote de rallye-raid. "Il n'y a rien à prouver en tant qu'amateur. La seule chose qui compte, c'est de terminer la course. Quand cela marche, on peut être content et en profiter un peu. La différence d'une course comme celle-ci avec le Dakar d'il y a trois ans est gigantesque. L'intensité et le degré de difficulté sont plus élevés sur le Dakar. Les étapes sont plus techniques, la navigation plus difficile et il y a bien plus de dunes."