"Beaucoup de choses se sont mal passées", selon De Clercq. "Nous avons réalisé un grand nombre de bonnes courses par équipe, l'expérience est là, mais aujourd'hui la communication n'était pas là. Et peut-être que les jambes n'étaient pas là non plus."

C'est particulièrement l'enthousiasme d'Hesters, partie à l'attaque, qui a fait douter sa partenaire. "Je pense que ça s'est un peu mal passé. Hélène y est allée, et je me suis dit: 'Putain, pas maintenant!' C'était juste une erreur de communication."

"Quand on a de bonnes jambes, on ne peut qu'essayer", s'est défendue Hesters. "J'avais de bonnes jambes et je me suis dit que c'était le moment d'attaquer. C'était peut-être trop tôt, mais nous ne l'aurions jamais su si je n'avais pas essayé."

Pour De Clercq, "la meilleure leçon à en tirer est que nous devons encore apprendre à communiquer plus pendant la course. Pas seulement pendant les attaques, mais aussi après."