"Rani est une athlète très appréciée et elle a très bien performé cet été à Paris lors de ses premiers Jeux Olympiques", a ajouté le CEO. "C'est dommage qu'elle ne soit pas présente à Belek, mais nous ne pouvons bien sûr obliger personne. Le stage est cette année pour nous d'une part une conclusion de l'année olympique et d'autre part un point de départ vers les Jeux de Los Angeles 2028."

Van Branteghem a expliqué le mode de sélection des athlètes et entraîneurs en vue du stage de Belek. "Nous donnons aux différentes fédérations sportives autant d'autonomie que possible. Elles proposent des athlètes et des entraîneurs. Dans certains cas, nous leur posons des questions et nous les consultons, mais nous n'avons pas l'intention de les influencer."

Van Branteghem, ancien athlète flamand lui-même, a indiqué que le COIB souhaite jouer un rôle de "médiateur" dans le conflit entre les différents entraîneurs et athlètes, d'une part et Atletiek Vlaanderen d'autre part. "Il est important qu'une certaine forme de calme revienne. Nous espérons que le processus pourra se dérouler de manière sereine. Une bonne communication est essentielle à cet égard. La voie à suivre est de tous se réunir autour de la table, et non de continuer à communiquer séparément par le biais de la presse", a-t-il conclu.