"Nous avons délibérément choisi d'aborder la compétition plus tard. Il n'y a plus de Strade Bianche à mon programme. Je veux être un peu plus fraîche dans les classiques wallonnes que l'année dernière. Ce sera une saison avec un peu plus de qualité et donc moins de quantité en termes de nombre de courses", a-t-précisé.

Milan-Sanremo est un nouveau venu dans le cyclisme féminin. "C'est un grand point d'interrogation. Le Poggio ? Un territoire totalement inconnu pour moi. Je n'y ai jamais couru auparavant. Je ne connais cette montée que par la course masculine. Ensuite, je participerai à Gand-Wevelgem, à A Travers la Flandre, au Tour des Flandres, à Paris-Roubaix, à l'Amstel, à la Flèche Wallonne et à Liège-Bastogne-Liège. Bien qu'il puisse y avoir quelques changements", a poursuivi Kopecky.

Le Tour de France Femmes s'élancera de Vannes, en Bretagne, le 26 juillet et comptera neuf étapes. "Le Tour sera un défi. Après le printemps, nous ferons une petite pause et nous nous concentrerons ensuite sur le Tour via un stage en altitude. Je suppose que je partirai en tant que leader, mais je pense qu'il ne serait pas imprudent de garder d'autres options ouvertes. Je pense à Anna van der Breggen. Ce sera un Tour délicat, avec des premières étapes "punchy". (Maillot) Jaune ? C'est un objectif. Le championnat du monde ? Nous devons pour cela bien réfléchir. Nous aurons un parcours très spécifique au Rwanda", a conclu Kopecky.